C‘est l’une des voies les plus dures d’une face nord qui n’en manque pas : No Siesta aux Grandes Jorasses, 30 longueurs de mixte, de glace et de rocher parfois douteux, parfois compact. Ouverte en 1986 par Jan Porvaznik et Stanislav Glejdura, No Siesta a vu passser quelques répétitions qui en ont fait le mythe : première en solitaire en 3 jours par Patrice Glairon-Rappaz en 2000, première hivernale et en libre par Robert Jasper en 2003. Depuis une dizaine d’années, les (rares) répétiteurs se lancent à l’automne, ou l’hiver, dans cette voie. Christophe Dumarest connaît bien la face nord des Jorasses : et pour cause, avec cette ascension de No Siesta son compteur affiche douze voies dans la face nord ! Pas loin d’être un record, sans doute. Encordé avec le Britannique Tom Livingstone, la cordée a gravi No Siesta avec deux bivouacs. Un film court et réussi sur ce qui reste l’une des plus fameuses voies des Alpes.
C‘est l’une des voies les plus dures d’une face nord qui n’en manque pas : No Siesta aux Grandes Jorasses, 30 longueurs de mixte, de glace et de rocher parfois douteux, parfois compact. Ouverte en 1986 par Jan Porvaznik et Stanislav Glejdura, No Siesta a vu passser quelques répétitions qui en ont fait le mythe : première en solitaire en 3 jours par Patrice Glairon-Rappaz en 2000, première hivernale et en libre par Robert Jasper en 2003. Depuis une dizaine d’années, les (rares) répétiteurs se lancent à l’automne, ou l’hiver, dans cette voie. Christophe Dumarest connaît bien la face nord des Jorasses : et pour cause, avec cette ascension de No Siesta son compteur affiche douze voies dans la face nord ! Pas loin d’être un record, sans doute. Encordé avec le Britannique Tom Livingstone, la cordée a gravi No Siesta avec deux bivouacs. Un film court et réussi sur ce qui reste l’une des plus fameuses voies des Alpes.