Pour Christophe L’Allier comme pour Gabrielle Laflamme, un féminicide, c’est un féminicide de trop. L’un et l’autre se dévouent passionnément à enrayer la violence familiale autant que possible, mais leurs visions semblent irréconciliables.
Pour Christophe L’Allier comme pour Gabrielle Laflamme, un féminicide, c’est un féminicide de trop. L’un et l’autre se dévouent passionnément à enrayer la violence familiale autant que possible, mais leurs visions semblent irréconciliables.